Le Chœur de Chambre de Versailles, composé de 45 choristes sous la direction d’Arlinda Roux-Majollari depuis 2008, a été créé en 1991, à Versailles, à l’initiative d’un chef de chœur, Christophe Mauvais, et d’amis chanteurs amateurs expérimentés, dans le but de progresser dans l’art du chant et d’aborder des œuvres de plus en plus difficiles et néanmoins fondamentales du gigantesque répertoire musical mondial classique et de toutes les époques. Accompagné par de petits ou grands ensembles instrumentaux ou a cappella, l’ambition du chœur reste depuis toutes ces années la même: présenter des concerts mettant en valeur des œuvres plus ou moins connues et dans des registres très différents et qui ne doivent surtout pas être oubliées par l’époque actuelle, et transmettre au public le plaisir de la musique et la satisfaction du travail bien réalisé.
Plusieurs programmes sont élaborés chaque année, notamment l’un en fin d’année au moment des fêtes, l’autre en juin à l’occasion de la grande fête du Mois Molière à Versailles.
Par choîx, le chœur, qui fait appel à un professeur de technique vocale, a considérablement développé sa pratique a cappella ou avec clavier, piano ou orgue, mais apprécie toujours de se produire avec différentes formations instrumentales, telles que les Musiciens de Mademoiselle De Guise, l’Orchestre de Chambre de Versailles, l’Ensemble Orchestral de Saint Quentin en Yvelines, ou encore l’Orchestre symphonique Paris-Rive droite.
Le Chœur de Chambre de Versailles participe à des évènements musicaux et des célébrations, à Versailles et se déplace partout en France pour ses concerts qui ont donné lieu à l’enregistrement de plusieurs disques.
Le Chœur de Chambre s’est associé à différentes reprises à d’autres choeurs pour des représentations nécessitant plus de chanteurs, ou pour des déplacements en province ou à l’étranger: récemment à Londres en 2013, avec le choeur londonien Esterazy’s singers pour chanter avec lui, à Londres, des oeuvres des répértoires français et anglais, à Versailles en 2014, pour l’interprétation du Dixit Dominus de Haendel.